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LA GRANDE BEUVERIE ©Gérard Daubanes

DES ÉCLATS ©Jean Gros-Abadie

PERFORMANCES

Danse . Poésie . Conte . musique

NEIGE NEIGE

PERFORMANCE, POÉSIE CONTE MUSIQUE ET DANSE

Haïku de Yosa Buson

"Neige, neige" de Marina Tsvetaeva

"La femme des neiges" / Yuki Onna, conte populaire japonais

"Mon rêve familier" et "Dans l'interminable ennui de la plaine" de Paul Verlaine.

Autour d'un récit, une myriade de petits poèmes évoquent les sentiments et les émotions provoqués par la neige aussi bien dans sa violence lors d’une tempête que dans l’enchantement de sa douceur ou sa clarté singulière.

Une invitation à la poésie dans une relation sensorielle au texte, à la voix, au corps, aux sons et aux images.

PAR

Sylvie Le Secq : danse et voix
Gérard Daubanes : musique, voix et images

LA GRANDE BEUVERIE

LECTURE PERFORMANCE, MUSIQUE ET DANSE

Fragments d'un texte de René Daumal

« Mais comme j'avais laissé mon troupeau d'idées noires auprès de la futaille, je les y retrouvai. Elles me sautèrent au cou avec des cris de joie, m'appelèrent "petit oncle", et me crièrent toutes sortes de paroles de tendresse, comme : "enfin te voilà revenu, ah ! ce qu'on est heureuses de te revoir !" Elles se pendaient à mes cheveux, à mes oreilles, à mes doigts, m'enlevaient mes lunettes, renversaient mon verre, salissaient mon pantalon, mettaient des mies de pain dans mes chaussettes. J'étais bien empêtré. »

René Daumal. Un auteur qui explore le monde matérialiste et spirituel dans un récit à la verve ubuesque.

PAR

Sylvie Le Secq : danse et voix
Gérard Daubanes : musique, voix et images

Doria Daubanes : voix

Mona Lefèvre : technique

Des éCLATS

PROJECTION DE LUMIÈRE, MUSIQUE ET DANSE

Tout commence dans le noir, quand une petite lumière naissante laisse deviner une présence mouvante, c'est un corps ondoyant qui apparaît tout doucement au gré de la musique et des mouvements de la lumière. La danse qui se crée, se fond dans des états de matière pierreuse, tellurique, liquide, aérienne ou cosmique. Pour suivre ce corps il faut se délester, tout abandonner, se fondre dans la matière organique et plonger dans les profondeurs de la nuit.

Dans un champ lumineux, créé par la projection de diapos peintes, grattées ou brûlées, un corps ondule, vibre, rayonne, se meut et invite à un désordre des sens pour une traversée onirique. Gérard Daubanes, musicien plasticien et Sylvie Le Secq, danseuse font l’hypothèse que mises en résonance, l’onde sonore, l’onde lumineuse et les ondulations du corps peuvent se rejoindre et se fondre en une matière originelle qui nous ramène à l’essence du mouvement. Cette hypothèse n’est pas d’ordre scientifique mais se situe plutôt aux confins de l’être, là où il rejoint l’espace dans son infinité. Idée subjective, et invitation à un voyage poétique intérieur.

PAR

Sylvie Le Secq : danse
Gérard Daubanes : images et son

LA DANSE de la DAME BLANCHE ©Yves Breton 1995

Les NOUVELLES REVELATIONS de l'ÊTRE ©S. Lysov Moscou 1996

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